đ Maison De La Justice Et Du Droit Trappes
Courriel: tj1-versailles@ : du lundi au vendredi de 08 h 30 à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h 00. Maison de justice et du droit Trappes Adresse : 3, place de la Mairie - 78190 Trappes Tél. : 01 30 16 03 20 Courriel : maison.justice.tra@sqy.fr Horaires : du lundi au jeudi de 09 h 00 à 12 h 00 et de 14 h 00 à 17 h 00. Guyancourt
OraprÚs le report de ce dossier à juin 2003, l'annonce par le Gouvernement d'abandonner la poursuite du maillage du territoire par de nouvelles maisons de la justice et du droit porte un coup dur à la fois au travail partenariat entrepris, mais aussi à la nécessaire proximité de la justice et du citoyen, réaffirmée notamment lors de la discussion sur la loi d'orientation et
Rayonautour de la commune : 60 km 0 200 km 0 10 20 30 40 50 60 70 80 90 100 110 120 130 140 150 160 170 180 190 200. Population + 50 000 hab.-10 000 à 50 000 hab.-2 000 à 10 000 hab.-500 à 2000 hab.--500 hab.-équipement. Café, hÎtel, restaurant (104) Camping (6) Gßtes de France (14) HÎtel (35) Restaurant (49) Commerces & Services (1769) Agence
Shortform to Abbreviate Maisons De La Justice Et Du Droit. 1 popular form of Abbreviation for Maisons De La Justice Et Du Droit updated in 2022 All Acronyms Setup
2Maison de justice et du droit se situent aux alentours de Ălancourt : MJD Trappes 78190 3 place de la Mairie 78190 TRAPPES 3,85 km de Ălancourt 01 30 16 03 20
: Permanences du juriste : le mardi de 14h à 17h et le jeudi de 9h à 12h30 Permanences du psychologue : le mardi de 14h à 17h Permanences de Médiation Val d'Oise : Psychologue : tous les mercredis de 10h à 12h30
Letribunal administratif de Versailles a validé l'élection municipale partielle de Trappes ce mardi. Le recours du candidat LR Othman Nasrou a donc été rejeté.
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Maisonde justice et du droit de St-Quentin-en-Yvelines-Antenne de Trappes - 3 place de la Mairie, 78190 Trappes - Administrations régionales, départementales, locales - 0130160320 - adresse - numéro de téléphone - horaires - avis - plan - email - téléphone - avec le 118 712 annuaire sur internet, mobile et tablette.
Lesmaisons de la justice et du droit (MJD) assurent une présence judiciaire de proximité et concourent à la prévention de la délinquance, à l'aide aux victimes et à l'accÚs au droit. Les mesures alternatives de traitement pénal et les actions tendant à la résolution amiable des conflits peuvent y prendre place. Maisons de justice et du droit
Dulundi au jeudi de 9h à 12h sans rendez-vous et de 14h à 17h sur rendez-vous. Permanence téléphonique le vendredi de 13h à 16h. Adresse (ou lieu d'activité) : 3, place de la Mairie. (3e étage) Trappes. Téléphone : 01 30 16 03 20. Fax : 01 30 16 03 21. Email : Maison.justice.tra@sqy.fr. Retour à la liste.
Maisonde justice et du droit (MJD) de Saint-Quentin-en-Yvelines â Antenne de Guyancourt Place François Rabelais - 78280 Guyancourt Horaires d'ouverture : du lundi au jeudi de 9h Ă 12h et de 14h Ă 17h le vendredi, permanence tĂ©lĂ©phonique de 13h Ă 16h
Maisonde Justice et du Droit_Antenne de GuyancourtPlace François Rabelais. 78280 Guyancourt. Tel : +33 1 39 30 32 40. Fax : +33 1 39 30 32 41. Consommation et/ou surendettement. Pour obtenir gratuitement des conseils et des réponses à leurs questions juridiques, les justiciables peuvent s'adresser à des points et relais d'accÚs au droit.
LesMaisons de la Justice et du Droit (MJD) ont Ă©tĂ© créées par une loi de 1998 afin dâassurer dans les quartiers des grandes agglomĂ©rations une prĂ©sence judiciaire de proximitĂ©, de concourir Ă la prĂ©vention de la dĂ©linquance et Ă lâaide aux victimes, de garantir aux citoyens un accĂšs au droit dans le cadre de permanences gratuites et confidentielles et de
Maisonde la Justice et du Droit - Trappes. DerniĂšre mise Ă jour : mercredi 9 septembre 2009, par: Flavien. Horaires : - Ouvert le lundi, le mercredi et le jeudi de 9h Ă
7ssaAeb.
PubliĂ© le 25/08/2022 25 aoĂ»t aoĂ»t 08 2022 Les travaux des Etats gĂ©nĂ©raux de la justice se sont rĂ©cemment clĂŽturĂ©s par la remise dâun rapport gĂ©nĂ©ral, puis de plusieurs rapports spĂ©ciaux, notamment un sur la justice civile. Ce rapport trĂšs dĂ©taillĂ© agrĂ©mentĂ© de fiches sur les diffĂ©rentes prĂ©conisations appelle quelques rĂ©flexions, qui nâengagent que lâopinion de son auteur, praticien des juridictions civiles. Volontairement, il est prĂ©cisĂ© que lâensemble des sujets abordĂ©s dans le rapport spĂ©cifique Ă la justice civile ne seront pas traitĂ©s, pour ne sĂ©lectionner que les points prĂȘtant Ă discussion ou Ă des enrichissements possibles du point de vue de lâauteur. En effet, le rapport sur la justice civile comporte beaucoup de propositions, notamment fortement axĂ©es sur le dĂ©veloppement des modes alternatifs de rĂšglement des diffĂ©rends MARD et sur la simplification de la procĂ©dure. I. Un appel Ă la rĂ©vision des errements issus des derniĂšres rĂ©formes Les prĂ©conisations du rapport mettent clairement lâaccent sur la nĂ©cessitĂ© de revenir sur certains Ă©cueils, mis au jour par la pratique, relatifs aux multiples rĂ©formes rĂ©centes de la procĂ©dure civile. 1. En premier lieu, il forme une proposition en Ă©mettant le souhait de revenir sur le principe selon lequel le Juge de la mise en Ă©tat serait exclusivement compĂ©tent pour statuer sur les fins de non-recevoir, en plus des exceptions de procĂ©dure. Il sâagit en effet dâune disposition qui a eu pour effet dâaugmenter considĂ©rablement le contentieux devant le Juge de la mise en Ă©tat, avec des possibilitĂ©s dâappel qui retardent lâissue des procĂ©dures au fond. La proposition de laisser lâoption dâune compĂ©tence, soit au Juge de la mise en Ă©tat, soit au Juge du fond ce qui veut dire que la fin de non-recevoir pourrait toujours ĂȘtre soumise dâemblĂ©e Ă la juridiction du fond semble pertinente. Sâagissant du fonctionnement de la mise en Ă©tat, notamment en premiĂšre instance, le rapport constate que, malgrĂ© lâesprit des prĂ©cĂ©dentes rĂ©formes ayant instituĂ© une audience dâorientation », le flux des dossiers et lâinvestissement nĂ©cessaire, outre la forme dĂ©matĂ©rialisĂ©e des audiences dâorientation, ne permettent pas que sâinstaure un dialogue rĂ©el avec les parties. Il souhaite la crĂ©ation dâune nouvelle Ă©tape, avec une audience de dialogue permettant de faire plusieurs choix dâorientation, y compris le recours aux modes alternatifs. Pourquoi pas ? Mais, il sâagit ici de rajouter une Ă©tape en plus, avec probablement un dĂ©lai supplĂ©mentaire. Il nous semble que la premiĂšre difficultĂ© dans le dialogue entre les parties et le Juge au stade de la mise en Ă©tat tient essentiellement au fait que lâensemble des audiences de mise en Ă©tat se tiennent virtuellement et de maniĂšre asynchrone, avec des logiciels ne permettant pas un rĂ©el dialogue instantanĂ©. En outre, ajouter une audience de dialogue avec le Juge de la mise en Ă©tat, Ă laquelle les dominus litis ne se dĂ©placeront probablement pas, et auxquels ne seront souvent prĂ©sents que les avocats postulants en charge de la procĂ©dure et nâĂ©tant pas forcĂ©ment autant fait de tous les aspects stratĂ©giques du dossier ce nâest pas leur rĂŽle, aboutira probablement Ă des dialogues assez peu constructifs. En revanche, dans le mĂȘme esprit, alors que le rapport insiste sur la nĂ©cessitĂ© dâoutils modernes, faire en sorte que la mise en Ă©tat puisse recourir Ă des procĂ©dĂ©s dâĂ©changes ne serait-ce quâĂ©quivalents aux outils quâaujourdâhui lâensemble du monde professionnel utilise la visioconfĂ©rence ou les outils de communication instantanĂ©e permettraient probablement de rĂ©soudre une partie des problĂšmes. En synthĂšse, le Juge chargĂ© de la mise en Ă©tat pourrait tout Ă fait entendre les parties par visioconfĂ©rence une audience virtuelle, donc, mais pas asynchrone, ce qui Ă©viterait des dĂ©placements, permettrait dâavoir en ligne directement lâavocat en charge du fond du dossier et Ă©ventuellement dâinstaurer un dialogue, Ă©vitant des renvois multiples sur des incomprĂ©hensions ou au contraire des dĂ©cisions mal venues sous couvert de ne pas perdre de temps. Nous savons que les outils existent puisquâils ont Ă©tĂ© utilisĂ©s trĂšs Ă la marge, malheureusement pendant la pĂ©riode de crise du COVID par certains Juges de la mise en Ă©tat. 2. Sâagissant de la procĂ©dure dâappel, lĂ encore, le rapport plaide pour que les consĂ©quences soient tirĂ©es des errements de la rĂ©forme Magendie, qui nâa pas accĂ©lĂ©rĂ© la durĂ©e des procĂ©dures. NĂ©anmoins, les prĂ©conisations formulĂ©es demeurent trĂšs marginales rallongement de certains dĂ©lais, allĂšgement de certaines formalitĂ©s sans remettre en cause le fonctionnement, mĂȘme si un appel Ă lâassouplissement des sanctions est formulĂ©. Il aurait Ă©tĂ© probablement possible de formuler des propositions plus audacieuses DĂšs lors que, parallĂšlement, le rapport prĂ©conise mĂȘme au stade de lâappel de favoriser lâusage des modes alternatifs de rĂšglement des diffĂ©rends, pourquoi ne pas mettre Ă profit le temps de lâinstance pour favoriser cela plutĂŽt que dây consacrer, comme cela ressort de la proposition, un rapide dĂ©lai dâun mois pour savoir si un accord amiable peut ĂȘtre trouvĂ©. Pourquoi, dans cette optique, ne pas alors faire courir les dĂ©lais enjoints aux parties pour conclure, non pas Ă compter de la dĂ©claration dâappel, mais Ă compter de la fixation par la Cour, en imposant des dĂ©lais rĂ©troactifs avant la clĂŽture prĂ©vue, avec des possibilitĂ©s restreintes dây dĂ©roger. Probablement sans les enfermer dans des dĂ©lais couperets, en revenant au critĂšre qui demeurent roi en matiĂšre de procĂ©dure civile, sous-jacents du principe de la contradiction, quâest lâexistence ou non dâun grief » Ă lâapprĂ©ciation du juge. Lâobjectif serait alors uniquement tout en respectant le timing de la juridiction, de vĂ©rifier que les rĂšgles du procĂšs Ă©quitable ont Ă©tĂ© observĂ©es et non pas dâinstaurer des chausse-trappes visant Ă Ă©vacuer une partie du stock » terme utilisĂ© dans le rapport.II. De vraies innovations Le rapport prĂ©conise notamment la crĂ©ation dâun tribunal virtuel pour les petits litiges en prenant lâexemple francophone du QuĂ©bec. Une juridiction dĂ©matĂ©rialisĂ©e, avec un glissement souple entre lâamiable et le judiciaire. On imagine derriĂšre une rĂ©duction du dĂ©lai de jugement, une rĂ©duction des coĂ»ts avec la mise en place dâune plateforme virtuelle, dans laquelle le justiciable aurait accĂšs aux informations avant la saisine, puis pourrait suivre en ligne Ă tout moment lâĂ©volution de son litige, jusquâĂ lâexĂ©cution. Câest une orientation que les prospectivistes appellent de leurs vĆux depuis de nombreuses annĂ©es. On ne peut que la soutenir. Toutefois, attention au dĂ©lai de dĂ©ploiement dâun tel outil. Il faut probablement rappeler quâil existe plĂ©thore outils informatiques permettant dâimaginer ces fonctionnalitĂ©s. Il pourrait sembler anachronique de tenter de recrĂ©er ce qui existe dĂ©jĂ par ailleurs, motif pris de la souverainetĂ©, qui ne doit pas faire oublier les coĂ»ts inhĂ©rents Ă un tel dĂ©veloppement. Il y a en outre dâexcellentes sociĂ©tĂ© françaises capables de travailler sur de tels Des solutions Ă des problĂšmes rĂ©currents Une partie du rapport Ă©voque notamment la question, outre celle de la contribution des citoyens par le paiement dâune taxe pour saisir les juridictions, de la prise en charge des frais dâavocat, notamment de ceux de la partie qui gagne le procĂšs lâarticle 700 du CPC. Une Ă©tude intĂ©ressante en droit comparĂ© permet de savoir quels sont les systĂšmes mis en place dans les autres pays. La proposition formulĂ©e est celle dâun systĂšme dans lequel les parties justifieraient des frais rĂ©els exposĂ©s, ce qui a lâavantage de la transparence. Le rapport, et on ne peut quâapprouver, est dĂ©favorable Ă la production des factures en tant que telles puisquâelles sont soumises au secret professionnel. Le Magistrat serait alors, si lâon comprend bien, tenu de prendre en compte les frais rĂ©els, avec une latitude dâapprĂ©ciation. Certes, cette latitude est probablement essentielle afin dâĂ©viter les dĂ©rives inflationnistes et de rĂ©tablir lâĂ©galitĂ© quant au choix des conseils. Mais il faut alors que les critĂšres arrĂȘtĂ©s soient prĂ©cis, limitatifs et encadrĂ©s, afin dâĂ©viter un pouvoir de modĂ©ration trop Une part importante de la rĂ©flexion orientĂ©e autour des MARD Le rapport part dâun constat fait par tous les praticiens celui dâun Ă©chec relatif de lâutilisation des modes alternatifs de rĂšglement des diffĂ©rends. Il Ă©voque essentiellement la question de la conciliation et de la mĂ©diation. Dont acte. Le rapport incite Ă la promotion des modes alternatifs. LĂ encore, on ne peut quâapprouver. Cependant, le discours tenu manque de clartĂ© quant Ă la rĂ©paration des rĂŽles. Une prĂ©sence du Juge au stade de la prĂ©conisation et de lâaccompagnement de la mesure, de mĂ©diation ou de conciliation, puis au stade de lâhomologation dâun Ă©ventuel accord amiable est prĂ©conisĂ©e. Câest Ă©videmment une bonne chose. NĂ©anmoins, est Ă©voquĂ©e la question de la prĂ©sence des mĂ©diateurs Ă des audiences, et de bureaux tenus par des mĂ©diateurs au sein de la juridiction. Or, si les conciliateurs sont des collaborateurs Service public de la Justice, ce nâest pas le cas des mĂ©diateurs, qui sont des professionnels indĂ©pendants, regroupĂ©s souvent sous forme dâassociations, qui obtiennent un agrĂ©ment de la Cour dâappel. On peut donc se demander sâil est pertinent que des mĂ©diateurs libĂ©raux », ou des associations, soient investis de missions par les magistrats, membres du Service public de la Justice, sans pour autant disposer dâune dĂ©lĂ©gation de Service public attribuĂ©e au terme dâun appel dâoffres, et a fortiori sâil est pertinent que des mĂ©diateurs disposent de locaux dans ceux de lâinstitution. Ceci entraine probablement alors une distorsion de concurrence dans le cadre dâun marchĂ© qui a probablement tout intĂ©rĂȘt Ă sâautorĂ©gler, ne serait-ce que pour faire Ă©merger une libre concurrence. Or, cette libre concurrence ne peut pas exister si la prime est donnĂ©e Ă certains au dĂ©triment dâautres. Le Service public doit alors observer une saine neutralitĂ©. Il conviendrait probablement de veiller Ă ne pas tomber dans les errements dans lesquels le systĂšme du Service public de la Justice a pu tomber par ailleurs en matiĂšre dâexpertises judiciaires, avec toutes les consĂ©quences qui sâen suivent sur le montant des honoraires par ailleurs taxĂ©s. Il y aurait probablement tout lieu de considĂ©rer que le magistrat doit, dans un premier temps ordonner la mĂ©diation, mais sans dĂ©signer dâorganisme de mĂ©diation ou de mĂ©diateur, quitte Ă en dĂ©signer un dâoffice, si effectivement les parties nâarrivent pas Ă sâaccorder. Comme le Juge dâappui en arbitrage. Dâautant que lâoffre de mĂ©diation est aujourdâhui suffisamment diversifiĂ©e pour quâen fonction de la nature du litige, de lâĂ©loignement des parties, des spĂ©cificitĂ©s rencontrĂ©es, telle ou telle offre de mĂ©diation soit plus adĂ©quate quâune Lâabsence quasi-totale de rĂ©fĂ©rence aux modes alternatifs Si les modes amiables de rĂ©solution des diffĂ©rends sont abondamment Ă©voquĂ©s dans le cadre des prĂ©conisations du rapport, tel nâest pas le cas des modes alternatifs. Il y a en effet une distinction aujourdâhui bien connue entre les deux. La mĂ©diation et la conciliation sont des modes amiables, visant Ă rapprocher les parties en rĂ©sumĂ©. Mais lâacronyme MARD peut Ă©galement ĂȘtre lu sous celui de modes alternatifs de rĂ©solution des diffĂ©rends, ce qui englobe alors Ă©galement lâarbitrage, dans lequel lâamiable nâest pas le sujet puisque câest lâarbitre, juge privĂ©, qui tranche, le plus souvent en droit. Il est tout Ă fait dommage, considĂ©rant la problĂ©matique sur laquelle se penchent les Etats gĂ©nĂ©raux de la justice, que la question de lâarbitrage, outil trĂšs puissant, parfaitement normĂ©, faisant lâobjet dâune jurisprudence abondante, dans laquelle le contrĂŽle du juge Ă©tatique peut sâopĂ©rer Ă divers stades juge dâappuis, exĂ©quatur, appel nullitĂ© soit totalement passĂ©e sous silence. Ceci est dommage dĂšs lors que lâobjectif du rapport vise Ă tenter de trouver des solutions face Ă lâengorgement dâun systĂšme Ă©tatique qui nâarrive pas Ă gĂ©rer les flux » pour reprendre un terme probablement un peu barbare, mais qui a lâavantage dâĂȘtre explicite. On ne peut que regretter que ne soit pas Ă©mise une hypothĂšse selon laquelle le Service public accepterait de concentrer ses efforts sur les domaines rĂ©galiens, qui ne peuvent pas ĂȘtre soumis Ă des modes alternatifs, comme le pĂ©nal ou lâĂ©tat des personnes, en concevant quâĂ dĂ©faut, les parties pourraient tout Ă fait recourir Ă lâarbitrage pour rĂ©gler les litiges ne relevant pas du rĂ©galien et notamment les litiges entre les parties privĂ©es. Ceci est dâautant plus regrettable que le monde de lâarbitrage lui-mĂȘme est aujourdâhui conscient quâil a tout intĂ©rĂȘt Ă se dĂ©mocratiser et Ă devenir accessible. On tiendrait ici une solution facile, sans dĂ©pense dâargent public, pour rĂ©gler les contentieux de maniĂšre rapide le dĂ©lai par principe pour reddition de la sentence est fixĂ© Ă six mois maximum, sauf accord des parties, en puisant dans le vivier que constitue la communautĂ© des juristes, notamment les avocats, en fonction de leurs domaines de conclusion, on peut saluer les travaux rĂ©alisĂ©s par les rĂ©dacteurs du rapport sur la justice civile et de maniĂšre plus gĂ©nĂ©rale par les acteurs ayant menĂ© ces Etats gĂ©nĂ©raux de la justice. Mais il convient de souhaiter que les pouvoirs publics se saisissent des sujets Ă©voquĂ©s avec le plus grand pragmatisme possible en concevant des solutions ambitieuses, sans se contenter de corrections Ă la marge. Cet article n'engage que son auteur.
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PubliĂ© le 03/02/2021 Ă 1718 Le rĂ©sultat de l'Ă©lection municipales Ă Trappes dans les Yvelines a Ă©tĂ© contestĂ© et annulĂ© par le tribunal administratif de Versailles. hcast / tribunal administratif de Versailles a annulĂ© mardi 2 fĂ©vrier l'Ă©lection municipale de 2020 Ă Trappes dans les Yvelines qui avait vu la victoire au premier tour d'Ali Rabeh proche de BenoĂźt Hamon, Ă la suite d'un recours d'une liste d' lire aussiEssonne la justice annule l'Ă©lection municipale de 2020 Ă Ris-OrangisL'annulation, aprĂšs un recours dĂ©posĂ© par la liste d'opposition Engagement Trappes Citoyens et l'Ă©lu Othman Nasrou, a Ă©tĂ© confirmĂ©e mercredi 3 fĂ©vrier par le tribunal. Cette dĂ©cision est contestĂ©e par Ali Rabeh, l'actuel maire Ă©lu en juin 2020, qui a fait appel devant le Conseil d'Ătat. En attendant la nouvelle dĂ©cision, il restera en poste. Au premier tour de l'Ă©lection municipale de mars 2020 de cette ville d'environ habitants, la liste d'Ali Rabeh est arrivĂ©e en tĂȘte avec 40,40% soit voix, devant les listes d'Othman Nasrou divers droite, 37,19% et de Guy Malandain divers gauche, 22,41%.Selon la dĂ©cision du tribunal, Ali Rabeh a menĂ© des actions de propagande» entre les deux tours des Ă©lections municipales, en utilisant son association CĆurs de Trappes» Ă des fins de propagande et de promotion personnelle». Il a notamment organisĂ© une distribution d'environ masques», est-il Ă©crit. Ces lots de masques comportaient une notice d'utilisation oĂč figurait une photo d'Ali Rabeh, identique Ă celle utilisĂ©e pour ses documents et affiches de campagne». Or, ces actions n'ont pas Ă©tĂ© dĂ©clarĂ©es dans les comptes de campagne du candidat, souligne le tribunal. La communication autour des actions de l'association ... a concouru Ă assurer la promotion du candidat aux Ă©lections», tranche-t-il dans sa Rabeh se dit surpris et en total dĂ©saccord avec la dĂ©cision des juges qui n'ont pas argumentĂ© en droit». Rabeh avait Ă©galement Ă©tĂ© Ă©pinglĂ© en dĂ©cembre pour ses comptes de campagne par la Commission nationale des comptes de campagne et des financements politiques CNCCFP. Le tribunal administratif vient aussi de statuer sur ce dossier, dĂ©clarant Rabeh inĂ©ligible pour une durĂ©e d'un an Ă compter de la date Ă laquelle le prĂ©sent jugement deviendra dĂ©finitif». Ali Rabeh n'a pas respectĂ© les rĂšgles Ă©lectorales. Cette tricherie est aujourd'hui reconnue par la justice», a estimĂ© de son cĂŽtĂ© Othman Nasrou, Ă©lu d'opposition.
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